Bonjour!
Je pensais pas finir ce que je vais vous montrer aussi tôt, mais bon, moi ça me va alors...
Bon alors, un peu de mytologie, pas grec,mais gauloise!
Je vais parler de la déesse Epona :

Epona était une déesse majeure de la mythologie celtique gauloise. Epona est associé au cheval, animal emblématique de l’aristocratie militaire gauloise, dont les expéditions ont entraîné la diffusion.
Son nom contient une allusion au cheval: en celtique « épos » signifie « cheval », et le suffixe « -ona » apposé veut simplement dire « relatif à ». Epona est donc la déesse protectrice des juments et des poulins.
Elle était aussi une déesse de la fertilité, comme le prouvent ses attributs : la patère et la corne d’abondance, ainsi que la présence d’un poulain sur certaines sculptures.

Les plus anciens renseignement sur cette déesse gauloise se trouve chez Juvénal mais Minicus Félix y fait lui aussi allusion. De plus un grec, Agesilaos, nous en parle aussi, mais lui, de la naissance d’ Epona : « Comme il était misogyne, Phoulouios Stellos eut commerce avec une jument, celle-ci, arrivé à son terme, mit au monde une belle petite fille et la nomma Epona ; et c’est elle, la déesse qui prend soin des chevaux ».

A quelques exceptions près, Epona est toujours vêtue, drapée et est en permanence en présence de chevaux.
Si ces traits se retrouvent sur toutes les représentations, les positions et attitudes d’ Epona et de ses chevaux varient selon leur lieu de découverte.
Le premier type de représentations, que l’on retrouve dans le Nord-Est de la Gaule ainsi que dans la région du Rhin, montre la déesse assise sur une jument parfois acompagnée d’un poulain. Portée par un cheval, elle peut avoir valeur de symbole funéraire : sur quelques stèles au moins, elle évoque le voyage de l’âme ves l’outre-tombe.
Dans le deuxième, la déesse est entouréz d’équidés. Ce genre de représentation se trouve surtout dans le centre de la Gaule.
Il existe encore une autre façon de représenter la déesse : elle peut-être couchée sur un cheval, à moitié nue.


Il est important de noter que les adorateurs d’Epona étaient essentiellement des soldats ainsi que des gens de bas peuple.
En effet, la grande majorité des monuments la représentant était en pierre comme celle trouvée aux alentours de Rouillac, en Charente, au fond d’un puits qui est très petite et de calcaire.
La représentation en elle même n’était pas des plus fines.
Peu d’images étaient en bronze.
Peu de bas-reliefs témoignent d’un art raffiné.
Les dimensions sont toujours modeste. La plupart des bas-reliefs représentant la déesse à cheval sont sans inscriptions. Ceci peut laisser penser que ces représentations étaient destinée à être vues particulièrement par des gens ne sachant pas lire ; mais cela peut également signifier qu’Epona était suffisamment connue dans l’esprit de la population pour qu’on ait besoin d’ajouter des mentions explicative à son sujet.


Je ne sais pas si ça vous a fait penser à Epona, le cheval de Link, mais moi quand j’en ai entendu parler la première fois, ça m’y a fait penser. Mais après, est-ce qu’il y a un rapport quelconque être ces deux là, je pense que c’est probable.
Faudra rechercher…